L’Astrolab, première application pour smartphone en allergologie moléculaire, permet de lister les réactivités croisées connues entre deux sources allergéniques et d’apporter au clinicien une aide pour améliorer la prise en charge diagnostique et thérapeutique. Sur Androïd.
Le syndrome d’entérocolite aux protéines alimentaires (Seipa) aux huîtres toucherait préférentiellement les femmes d’un âge moyen de 40 ans, selon une étude rétrospective francilienne. Les symptômes peuvent être graves, avec passage aux urgences dans 17 % des 38 cas colligés.
Les parents d’enfants ayant un projet d’accueil individualisé pour allergie alimentaire ont une méconnaissance des indications de l’utilisation d’adrénaline, selon une étude menée chez des enfants scolarisés en Gironde. Un constat qui confirme l’intérêt de programmes d’éducation thérapeutique dans cette pathologie.
Dans de nombreux pays d’Afrique, l’atopie augmente avec l’âge et, parmi les allergènes en cause, les acariens sont au premier plan, avec Dermatophagoides mais aussi Blomia tropicalis, suivis des blattes.
Un poster du RNSA permet d’aider les patients allergiques à mieux reconnaître les herbacées. Téléchargeable*, il recense les 24 « mauvaises herbes » les plus importantes sur le plan allergologique.
* www.pollens.fr/docs/poster_herbacees.pdf
Parmi les urticaires chroniques inductibles, l’urticaire apparaissant uniquement après exposition à l’eau de mer est exceptionnelle et est liée à l’hyperosmolarité, en lien avec la forte salinité de l’eau de mer.
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